Some great reward - Remastered 3 octobre 2006

They talk and they talk. Discussions autour d'un titre ou d'un album, en studio ou en live.

Messagepar jmsmirnoffice » 14 Oct 2006, 20:21

Superbe objet, la pochette plus claire est magnifique.
La précision du son en SACD sied parfaitement aux sonorités industrielle !
Sans doute mon remaster préféré pour l'instant !
A++
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Messagepar VIOLATION » 14 Oct 2006, 22:58

j'attends Noel pour les avoirs....
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Messagepar popcara » 01 Déc 2006, 14:32

Pour cet album qui est le premier de la serie des grands albums des Mode , il y a une très bonne review sur waxx-music de "Some Great Reward" une reedition vraiment tres bonne .
___
Depeche mode : Some Great Reward
— Redaction WAXX music
A l’occasion de la ressortie du “Some Great Reward’, album mythique de Depeche Mode, retour sur cet album sorti en 1984
En 1983, le groupe de Basildon s’engage sur la voie d’une musique à la sonorité « industrielle » avec l’enregistrement de Construction Time Again. L’influence « throbbing gristle » du génial (mais non moins dérangé…) anglais Genesis P.Orridge, associée à celle de la « nouvelle vague » allemande (d’Einsturzende Neubauten à Deutsch Amerikanische Freundschaft alias DAF), permet ainsi à Depeche Mode de se démarquer de la pop néo-romantique qui avait fait le succès du groupe durant ses trois premières années d’existence (un style dans lequel des groupes tels que Dead or Alive et autres Spandau Ballet ne vont pas tarder à sombrer corps et âme).
Mais c’est en 1984 que Depeche Mode enfonce véritablement le clou avec la sortie de l’album Some Great Reward. Le groupe, tel un reptile, change de peau : c’en est fini de l’imagerie adolescente, ce disque allant jusqu’à jouer la carte d’une certaine forme de provocation. La voix de Dave Gahan se fait plus grave, les thèmes (la perversion avec « Master and Servant », le sexe avec « Lie To Me », l’anti-militarisme avec « People Are People ») deviennent plus matures. Mais si le parti-pris musical tient la route (en dépit d’un « Somebody » d’une niaiserie à la limite de l’insulte sur un album presque parfait), l’image de son compositeur Martin Gore ne sort pas intacte de l’expérience : pour un peu, on pourrait voir en lui une nouvelle incarnation de l’héroïne de La Vénus à la fourrure (roman signé Sacher-Masoch).
Si l’album qui précédait Some Great Reward avait ouvert les portes à un son plus métallique qu’auparavant, le titre « Blasphemous Rumours » (qui le conclut) annonce quant à lui la noirceur des compositions qui se retrouveront deux ans plus tard sur Black Celebration.
Quoi qu’il en soit, Depeche Mode devient à compter de ce moment-là un groupe incontournable dont l’influence ne cessera ensuite de grandir.

http://www.waxx-music.com/articles/?p=732
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