
Les anges éveillent l’imaginaire ces derniers temps...
Sans trop dévoiler du film, ni entrer de nouveau dans les diverses polémiques qui entourent toujours les sorties des films de Luc Besson, (que j’apprécie pour ma part) juste quelques petites indications.
Luc nous entraîne vers le léger ; celui qui signifie, sensible, touchant, régénérant.
C’est selon moi un joli conte, esthétiquement et humainement parlant. Le film est en noir et blanc et cela lui confère un effet hors temps, (comme un air de Wenders à un moment particulier, à la fin) une texture, une sensibilité particulière, tout comme en photo, Paris dévoile une part de sa splendeur de cette façon.
Il s’agit de l’acceptation et de la "transformation" d’un être qui a oublié de sentir, de voir et d’aimer, lui, comme les autres. Peut être suffit il d’ouvrir l’œil et le cœur pour découvrir que malgré tout le noir de ce monde, il y a aussi mille choses et êtres qui valent la peine, des étoiles pour chacun de nous.
Ca peut paraître très simple, mais il est souvent plus difficile d’extraire des éléments positifs de sa vie, que l’inverse.
Jamel est excellent et touchant, il ne parle plus pareil, son corps aussi à une nouvelle façon de bouger. Rie Rasmussen surprend, elle pétille à sa façon.
La musique est composée par Anja Garbarek, la fille de Jan, le saxophoniste de jazz, je ne savais pas qu’il avait une fille compositrice, c’est pas mal, différent de lui, mais je préfère ce qu’a fait daddy, en particulier son album Rites.
Allez vous y pencher pour voir...
Sans trop dévoiler du film, ni entrer de nouveau dans les diverses polémiques qui entourent toujours les sorties des films de Luc Besson, (que j’apprécie pour ma part) juste quelques petites indications.
Luc nous entraîne vers le léger ; celui qui signifie, sensible, touchant, régénérant.
C’est selon moi un joli conte, esthétiquement et humainement parlant. Le film est en noir et blanc et cela lui confère un effet hors temps, (comme un air de Wenders à un moment particulier, à la fin) une texture, une sensibilité particulière, tout comme en photo, Paris dévoile une part de sa splendeur de cette façon.
Il s’agit de l’acceptation et de la "transformation" d’un être qui a oublié de sentir, de voir et d’aimer, lui, comme les autres. Peut être suffit il d’ouvrir l’œil et le cœur pour découvrir que malgré tout le noir de ce monde, il y a aussi mille choses et êtres qui valent la peine, des étoiles pour chacun de nous.
Ca peut paraître très simple, mais il est souvent plus difficile d’extraire des éléments positifs de sa vie, que l’inverse.
Jamel est excellent et touchant, il ne parle plus pareil, son corps aussi à une nouvelle façon de bouger. Rie Rasmussen surprend, elle pétille à sa façon.
La musique est composée par Anja Garbarek, la fille de Jan, le saxophoniste de jazz, je ne savais pas qu’il avait une fille compositrice, c’est pas mal, différent de lui, mais je préfère ce qu’a fait daddy, en particulier son album Rites.
Allez vous y pencher pour voir...