
Après avoir longtemps salivé devant une bande-annonce lourde, j'ai enfin pu voir le nanar ultime du cinéma de gangster made in France. Et je n'ai pas été déçu par tant de médiocrité dans tous les domaines :
La réalisation de Frédéric Schoendoerffer caméra à l'épaule complètement loupée, qui essaye de filmer le milieu des boites de nuit sur fond de mauvaise techno des années 90. Le scénar fade qui dézingue un par un chaque truand sans que celui-ci ne se doute de rien et ne bronche. Des scènes pour rien, Magimel braque un Fedex en pleine nuit et tue un chien. Sans doute pour nous montrer la routine de la vie de truand ? Je pase sur les clichés du Paris de la pègre qui est réduit aux Champs-Elysées et aux parkings.
Le jeu des acteurs : Magimel se fait tout petit devant son aquarium, semblant comprendre qu'il est dans une bouze et qu'il ne faut pas faire trop de bruit. Olivier Marchal et Béatrice Dalle s'autoparodient. Ludovic Schoendoerffer, le frérot du réalisateur est également de la partie, problème, il a tout sauf la gueule d'un truand (imaginez le professeur Tournesol qui déclame son envie de butter à tout va).
Et Philippe Caubère, immense Philippe Caubère qui sur joue un parrain improbable, une sorte de pale imitation de Joe Pesci qui en fait des tonnes, jure, crache, sodomise et fait pouffer de façon bien involontaire.
Au final, un film qui prétend démystifier le monde du banditisme mais qui n'est pas crédible une minute. Le nanar dans toute sa splendeur à voir au 101è degré.
La réalisation de Frédéric Schoendoerffer caméra à l'épaule complètement loupée, qui essaye de filmer le milieu des boites de nuit sur fond de mauvaise techno des années 90. Le scénar fade qui dézingue un par un chaque truand sans que celui-ci ne se doute de rien et ne bronche. Des scènes pour rien, Magimel braque un Fedex en pleine nuit et tue un chien. Sans doute pour nous montrer la routine de la vie de truand ? Je pase sur les clichés du Paris de la pègre qui est réduit aux Champs-Elysées et aux parkings.
Le jeu des acteurs : Magimel se fait tout petit devant son aquarium, semblant comprendre qu'il est dans une bouze et qu'il ne faut pas faire trop de bruit. Olivier Marchal et Béatrice Dalle s'autoparodient. Ludovic Schoendoerffer, le frérot du réalisateur est également de la partie, problème, il a tout sauf la gueule d'un truand (imaginez le professeur Tournesol qui déclame son envie de butter à tout va).
Et Philippe Caubère, immense Philippe Caubère qui sur joue un parrain improbable, une sorte de pale imitation de Joe Pesci qui en fait des tonnes, jure, crache, sodomise et fait pouffer de façon bien involontaire.
Au final, un film qui prétend démystifier le monde du banditisme mais qui n'est pas crédible une minute. Le nanar dans toute sa splendeur à voir au 101è degré.