
Une pure comédie, menée tambour battant par un casting qui ferait rêver plus d’un réalisateur. La vraie idée repose sur le décalage entre l’image des acteurs et leur rôle tenu dans le film. John Malkovich excelle dans un personnage qu’aurait pû parfaitement incarner un acteur comme Bill Murray. La paire Clooney-Pitt n’hésite pas à malmener son image glamour, avec un Brad qui joue plutôt bien le neuneu bodybuildé. Frances Mc Dormand, déjà dirigée par les Cohen brothers dans Fargo, joue la partition impeccable de la femme dépassée par les évènements.
Le film n’offre aucun temps mort, le scénario théatral (les amants dans le placard / les quiproquos en veux-tu, en voilà) n’ayant aucune limite dans les retournements de situations improbables. D’ailleurs les Cohen joue avec ça puisqu’il n’hesitent pas à mettre en scène la difficulté à résumer l’histoire.
Burn After Reading n’est pas un grand film des freres Cohen, aussitôt vu - aussitôt oublié, mais c’est quand même un film idéal pour passer un bon moment de détente.
L'affiche US :

Le film n’offre aucun temps mort, le scénario théatral (les amants dans le placard / les quiproquos en veux-tu, en voilà) n’ayant aucune limite dans les retournements de situations improbables. D’ailleurs les Cohen joue avec ça puisqu’il n’hesitent pas à mettre en scène la difficulté à résumer l’histoire.
Burn After Reading n’est pas un grand film des freres Cohen, aussitôt vu - aussitôt oublié, mais c’est quand même un film idéal pour passer un bon moment de détente.
L'affiche US :
