
Le grolandais Gustave Kervern, associé au guignolesque Benoit Delépine, reforme leur duo de réalisateurs pour un troisième film commun (et peu consensuel) après Aaltra et Avida.
Sous son aspect provocateur, Louise-Michel est un film touchant. D’abord par le choix des acteurs : la paire Yolande Moreau - Bouli Lanners fonctionne à merveille, et on se demande bien pourquoi cette association n’avait jamais germé dans la tête d’un réalisateur avant ce film.
Beaucoup d’idées fourmillent dans ce long métrage, avec pour résultat un joyeux patchwork d’images fortes, de situations burlesques, de tabous traités sur le ton de la comédie, un film fourre-tout, tendance altermondialiste mais pas bio, transexuel mais pas trop, et plutôt drôle si vous êtes client d'humour noir.
Je ne dirais pas grand chose sur le scénario, et surtout pas le “pitch”, afin de laisser la surprise à celles et ceux qui oseront mettre 7 euros pour aller visionner cette comédie dans une salle obscure. D’ailleurs, j’adresse mes amitiés à tous les spectateurs qui se lèvent dès les premières secondes du générique de fin et se ruent en urgence sur la sortie de la salle, le manteau à moitié enfilé sur une épaule, comme si la salle de cinéma prenait feu : dommage pour vous car l’épilogue de Louise-Michel se situe après le générique de fin.
Petit bemol : la mise en scène est un peu décevante, dommage.

Sous son aspect provocateur, Louise-Michel est un film touchant. D’abord par le choix des acteurs : la paire Yolande Moreau - Bouli Lanners fonctionne à merveille, et on se demande bien pourquoi cette association n’avait jamais germé dans la tête d’un réalisateur avant ce film.
Beaucoup d’idées fourmillent dans ce long métrage, avec pour résultat un joyeux patchwork d’images fortes, de situations burlesques, de tabous traités sur le ton de la comédie, un film fourre-tout, tendance altermondialiste mais pas bio, transexuel mais pas trop, et plutôt drôle si vous êtes client d'humour noir.
Je ne dirais pas grand chose sur le scénario, et surtout pas le “pitch”, afin de laisser la surprise à celles et ceux qui oseront mettre 7 euros pour aller visionner cette comédie dans une salle obscure. D’ailleurs, j’adresse mes amitiés à tous les spectateurs qui se lèvent dès les premières secondes du générique de fin et se ruent en urgence sur la sortie de la salle, le manteau à moitié enfilé sur une épaule, comme si la salle de cinéma prenait feu : dommage pour vous car l’épilogue de Louise-Michel se situe après le générique de fin.
Petit bemol : la mise en scène est un peu décevante, dommage.
