Les magazines de presse : articles sur Depeche Mode

Spreading the news around the web. Les dernières news et rumeurs sur l'actualité du groupe.

Messagepar tom » 19 Oct 2005, 13:33

grosse pub (1/2 page sue la derniére page de la voix du nord) mardi .
aujourd'hui au tour de la chronique (voix du nord toujours).

la guerre d'egos qui fait rage depuis quelques années entre l'angelot martin gore et un DG de + en + rongé par des démons intérieurs aboutit,avec playing the angel,à l'une des étapes les plus envoutantes de la longue discographie de DM.
dans cet album crépusculaire,tout n'est que fureur intérieure,déchirements mystiques et quete de rédemption.
la cicatrisation artistique d'une plaie béante qui nes se cristallise pas pour autant autour d'un album difficile tant chacune des stations de cet édifiant chemin de croix,vous emmenant au dela du bien et du mal,sonne aves justesse et évidence.
l'oeuvre au noir qu'il fallait pour installer le (désormais inclassable)trio dans une respectabilité,voici un quart de siécle,aurait fait gondoler de rire la planéte.
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Messagepar mags » 19 Oct 2005, 15:52

l'article de Femme Actuelle
(comme ça tu auras un truc en moins à faire Melancholy_Flower)

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"Silens loquor"

+We Collect Enemies+

"God, I can be such an apple slut !" Elliot Reid
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Messagepar Itmatters » 19 Oct 2005, 16:25

vous avez remarqué, sur le truc de nuggets, il est mis ' le quatuor...'

hum :bigggrin:
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Messagepar Melancholy_Flower » 19 Oct 2005, 16:34

mags a écrit:l'article de Femme Actuelle
(comme ça tu auras un truc en moins à faire Melancholy_Flower)

Je te remercie!
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Messagepar Guilhome » 19 Oct 2005, 17:57

Sinon, je ne pense pas que cela ait été signalé, on trouve aussi un petit encart dans le magazine TGV du mois d'Octobre avec Monica Belluci en couv'. Mais là, il faut voyager en première pour y avoir droit... :bigggrin:

Et donc ça fait encore une critique positive. A l'occasion, je le scannerai...
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Messagepar what_ever » 19 Oct 2005, 19:28

The X Phil a écrit:( ... ) je ne peux résister en exergue à la citation d'un pote il y a un moment :
"Le parisien, c'est comme Sartre : en le lisant, t'as la nausée et les mains sales"

Alors tu as la chance d'avoir eu un pote qui s'appelle Pierre Desproges ?... :bigggrin:
Les excès de la liberté mènent au despotisme ; mais les excès de la tyrannie ne mènent qu'à la tyrannie. ( Chateaubriand )
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Messagepar The X Phil » 19 Oct 2005, 19:41

J'ai jamais dit que c'était de lui ! d'ailleurs, il me semble maintenant en effet qu'il m'avait dit que c'était de Desproges... Quoiqu'il en soit, d'où que ça vienne, c'est quand même très bien vu.
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Messagepar personal jesus 59 » 19 Oct 2005, 20:15

je répond aux critiques concernant l'article dans femmes actuelles: réecoutez i Want it all, cette chanson est magnifique, la voix de dave est sublime et je trouve que l'osmose qui s'y dégage sur la fin du morceaux avec martin est superbe, cette atmosphére créée par ce titre est la meilleur de l'album( prenez un casque et faite le test), après on en reparlera...
dm is my précious!!!!
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Messagepar The X Phil » 20 Oct 2005, 01:00

Déjà, on a le droit de pas être d'accord et de pas trouver "I want it all" si géniale que ça... A mon avis, c'est même une des moins bonne chanson du disque, ma préférée étant "Nothing's impossible".
Mais surtout, elle n'a rien d'un "tube" (pas vraiment de mélodie, rythme lent, chanson atmosphérique plus qu'autre chose...), et c'est en ça que ce que dit Femme Actuelle est une connerie. Ce n'est pas un critère de qualité concernant la chanson...
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Messagepar jb » 20 Oct 2005, 14:51

Pas vraiment un mag mais cela se trouve sur le site du nouvel obs :

Les sorties de disques de la semaine --par Christian Panvert--

AP | 20.10.05 | 12:08


PARIS (AP) -- Voici une sélection de disques sortis cette semaine:

- Depeche Mode: "Playing The Angel" (Mute/Capitol). On pensait le groupe fini, après les divagations répétées de ses membres. Ce onzième album prouve que le trio, formé par Andy Fletcher, Martin Gore et Dave Gahan a encore des choses à raconter et à inventer.
Si le titre "Lilian" nous rappelle un peu "People Are People", "John The Revelator" mêle avec subtilité le gospel aux sonorités techno. On passera sur la ballade fade "I Want It All" pour s'arrêter sur les deux autres titres écrits par Dave Gahan dont le très sombre "Nothing's Impossible" et le plus enjoué "Suffer Well". Depeche Mode réussit un joli retour.

http://permanent.nouvelobs.com/culture/20051020.FAP0390.html?1016
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Messagepar Bliss69 » 20 Oct 2005, 16:04

C'est pas dans la presse mais il ya un article sur msn divertissement:rock:
Run Deep, Run Wild!
J'ai des soucis d'orthographe mais je me soigne...
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Messagepar jb » 20 Oct 2005, 17:06

L'Humanité du 19 octobre 2005 : (page 2)

Ripostes L’homme du jour
Dave Gahan

S’il fallait en choisir un, ce serait Dave Gahan, la voix grave et tourmentée de Depeche Mode. Gahan, ce grand brun à la quarantaine bien tassée, incarne par ses frasques et ses déboires la trajectoire sinueuse du célèbre trio anglais qui, vingt-cinq ans après sa création, a sorti hier un onzième album studio intitulé Playing The Angel. En proie à d’incessantes rivalités internes, Depeche Mode - dont les membres ne se retrouvent que pour les enregistrements - a malgré tout survécu. Assez pour incarner une electro-pop créative et anxiogène, sciemment empêtrée dans les tourments de l’adolescence. Au coeur de cette aventure chaotique, Dave Gahan a erré en digne parangon de la rock’n’roll attitude et de sa cohorte de clichés. Histoires de sexe, d’alcool à gogo et, surtout, de drogue. En 1990, Depeche Mode sort Violator, considéré comme le chef-d’oeuvre du groupe. Dave Gahan, qui ne participe pas à la composition des morceaux, s’enfonce quotidiennement dans la dope. Traînant à sa suite, comme l’affirme la rumeur, une cohorte de dealers chargés de lui trouver de l’héroïne à toute heure du jour et de la nuit. D’overdose en overdose, la rockstar concluera son entreprise d’autodestruction en 1996 avec une tentative de suicide. Revenu des bas-fonds, Gahan a fini par se faire désintoxiquer. Signe des temps : le chanteur est même passé à l’écriture, sortant en 2003 un album solo. Le début de l’âge de raison.

L. M.

Article paru dans l'édition du 19 octobre 2005.




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Messagepar StrangeDisease » 20 Oct 2005, 17:27

jb a écrit:Gahan, ce grand brun à la quarantaine bien tassée

La quarante "bien tassée", il exagère pas un peu là ? (43 ans, c'est pas encore "bien tassée" à mon sens... )

incarne par ses frasques et ses déboires la trajectoire sinueuse du célèbre trio anglais qui, vingt-cinq ans après sa création, a sorti hier un onzième album studio intitulé Playing The Angel. En proie à d’incessantes rivalités internes, Depeche Mode - dont les membres ne se retrouvent que pour les enregistrements - a malgré tout survécu. Assez pour incarner une electro-pop créative et anxiogène, sciemment empêtrée dans les tourments de l’adolescence. Au coeur de cette aventure chaotique, Dave Gahan a erré en digne parangon de la rock’n’roll attitude et de sa cohorte de clichés. Histoires de sexe, d’alcool à gogo et, surtout, de drogue. En 1990, Depeche Mode sort Violator, considéré comme le chef-d’oeuvre du groupe. Dave Gahan, qui ne participe pas à la composition des morceaux, s’enfonce quotidiennement dans la dope. Traînant à sa suite, comme l’affirme la rumeur, une cohorte de dealers chargés de lui trouver de l’héroïne à toute heure du jour et de la nuit. D’overdose en overdose, la rockstar concluera son entreprise d’autodestruction en 1996 avec une tentative de suicide. Revenu des bas-fonds, Gahan a fini par se faire désintoxiquer. Signe des temps : le chanteur est même passé à l’écriture, sortant en 2003 un album solo. Le début de l’âge de raison.

Toujours cette histoire de sex n' rock n' roll... Mais pas de critique de l'album en lui-même (il n'a pas eu le temps de l'écouter ?)... Dommage !

Mais merci quand même jb !




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Messagepar jb » 20 Oct 2005, 17:34

StrangeDisease a écrit:La quarante "bien tassée", il exagère pas un peu là ? (43 ans, c'est pas encore "bien tassée" à mon sens... )

Il exagère aussi quand il dit "ce grand brun".

Toujours cette histoire de sex n' rock n' roll... Mais pas de critique de l'album en lui-même (il n'a pas eu le temps de l'écouter ?)... Dommage !


Sex & drug, c'est un peu tous les articles qui en causent. A mon avis, le dossier de presse qui a été donné aux différents médias a sans doute insisté lourdement sur ces thèmes un rien racoleurs...
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Messagepar jb » 20 Oct 2005, 17:44

Et pour les collectionneurs et autres scrapbookeurs, voici le scan de la page de l'Huma copiée collée ci-dessus (720 Ko).
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Messagepar domvano » 20 Oct 2005, 21:01

Si ce n'est déjà dit article dans la Dernière Heure , quotidien Belge , de ce lundi
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Messagepar good evening pasadena » 20 Oct 2005, 21:51

Au cas où personne n'est pas encore posté cette critique...

Dans Télérama de cette semaine

Depeche Mode

Playing the angel

Rien n'a jamais été simple concernant Depeche Mode. Le groupe anglais, depuis sa création, en 1981, n'a pas eu une carrière, mais plusieurs. Successions d'incarnations plus ou moins épanouies, au gré des divorces (départ du membre fondateur Vince Clarke dès 1982) et des crises d'ego : d'abord archétype idéal de la new wave ligne claire, DM a gagné en épaisseur et en gravité à mesure que le chanteur Dave Gahan et le musicien touche-à-tout Martin Gore sombraient, sinon dans la dépression, en tout cas dans une fascination sans limites pour le spleen menaçant et la morbidité.

Productrice d'une musique régulièrement sous-estimée par la critique mais célébrée par un fan-club planétaire, cette capacité à chanter l'ennui, la désolation, mais aussi la quête de rédemption, aura par ailleurs donné corps à un univers sonore puissant et complexe, mélange d'électro malmenée et de pop sombre et hautement mélodique. Difficile de citer un autre groupe « fin de siècle » pareillement prolifique et immédiatement identifiable. Cela pourrait suffire à nourrir des pages d'hommage, mais il se trouve qu'un nouvel album paraît ces jours-ci (1), et qu'il est à lui seul un vibrant résumé de tout ce que Depeche Mode offre à aimer.

D'abord parce que l'écriture mélodique reste, sur Playing the angel, d'une éloquence rare : combien de groupes à guitares à la mode aimeraient signer des choses aussi raffinées que John the revelator ou Nothing's impossible ! Ensuite parce que Dave Gahan, à nouveau en très grande forme, n'a pas d'âge - l'état civil nous dit qu'il a 43 ans, sa voix de Dorian Gray nous jure que non. Ce type et les chansons qu'il fait vivre sont une parade contre le temps qui use. Enfin, comme toujours chez les laborantins anglais, il y a le plaisir du son : le métal malmené, la forge à pop obscure. Un monde en soi. Depeche Mode, à l'heure de son Everest, malaxe une sorte de blues moderne assez radical, mais fait ça avec une grâce et une précision qui doivent donner le tournis à nombre de leurs admirateurs laborieux, de Moby à Daft Punk.

Emmanuel Tellier[U]
Is there anybody in the band that you don't really like...Even the drunk one ? Dave : I like the drunk one especially.

Brian kinney : you also understand that you'll be required to work long hard hours sometimes deep into the night
Justin Taylor : it'll be a pleasure to work under you...Sir...
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Messagepar smysandre » 20 Oct 2005, 22:25

good evening pasadena a écrit:Au cas où personne n'est pas encore posté cette critique...

Dans Télérama de cette semaine

Depeche Mode

Playing the angel

Rien n'a jamais été simple concernant Depeche Mode. Le groupe anglais, depuis sa création, en 1981, n'a pas eu une carrière, mais plusieurs. Successions d'incarnations plus ou moins épanouies, au gré des divorces (départ du membre fondateur Vince Clarke dès 1982) et des crises d'ego : d'abord archétype idéal de la new wave ligne claire, DM a gagné en épaisseur et en gravité à mesure que le chanteur Dave Gahan et le musicien touche-à-tout Martin Gore sombraient, sinon dans la dépression, en tout cas dans une fascination sans limites pour le spleen menaçant et la morbidité.

Productrice d'une musique régulièrement sous-estimée par la critique mais célébrée par un fan-club planétaire, cette capacité à chanter l'ennui, la désolation, mais aussi la quête de rédemption, aura par ailleurs donné corps à un univers sonore puissant et complexe, mélange d'électro malmenée et de pop sombre et hautement mélodique. Difficile de citer un autre groupe « fin de siècle » pareillement prolifique et immédiatement identifiable. Cela pourrait suffire à nourrir des pages d'hommage, mais il se trouve qu'un nouvel album paraît ces jours-ci (1), et qu'il est à lui seul un vibrant résumé de tout ce que Depeche Mode offre à aimer.

D'abord parce que l'écriture mélodique reste, sur Playing the angel, d'une éloquence rare : combien de groupes à guitares à la mode aimeraient signer des choses aussi raffinées que John the revelator ou Nothing's impossible ! Ensuite parce que Dave Gahan, à nouveau en très grande forme, n'a pas d'âge - l'état civil nous dit qu'il a 43 ans, sa voix de Dorian Gray nous jure que non. Ce type et les chansons qu'il fait vivre sont une parade contre le temps qui use. Enfin, comme toujours chez les laborantins anglais, il y a le plaisir du son : le métal malmené, la forge à pop obscure. Un monde en soi. Depeche Mode, à l'heure de son Everest, malaxe une sorte de blues moderne assez radical, mais fait ça avec une grâce et une précision qui doivent donner le tournis à nombre de leurs admirateurs laborieux, de Moby à Daft Punk.

Emmanuel Tellier[U]

Merci, ce fut un pur moment de bonheur à lire cet article.
Il résume ce que je pense. C'est juste dans la façon de définir DM, j'ai toujours eu du mal, je suis souvent dans l'émotionnel et je cherche souvent mes mots à leurs propos. J'adore littéralement, merci à ce journaliste.
Il n'a pas balancé sur la drogue, le sexe etc....ou sur le fameux "groupe mythique des années 80" ce qui a tôt fait de m'énerver et la musique alors, le côté créatif et de l'émotion qui en émerge, qui en parle ?? Et bien peu à mon goût. Merci j'ai l'impression d'avoir été comprise de la raison d'aimer DM.
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Messagepar dmlog » 21 Oct 2005, 09:59

dans la version web de Libération aujourd'hui:
http://www.liberation.fr/page.php?Article=332592

Le retour des survivants
par Nick KENT
QUOTIDIEN : vendredi 21 octobre 2005
Pour leur onzième album studio à ce jour, les Depeche Mode ont fait appel à Ben Hillier, producteur occasionnel de Blur, afin de les ramener à l'electronica old school de leur zénith sonique du milieu des années 80. En conséquence de quoi, le premier single extrait de l'album, Precious, sonne comme une élégante séquelle de Some Great Reward en 1984, tandis que l'electro-pop légèrement menaçante de John The Revelator tente de dupliquer la dynamique goth-rockabilly de leur méga-hit de la fin de la même décennie, Personal Jesus. La nouveauté, c'est que le chanteur Dave Gahan a été autorisé à inclure trois de ses chansons aux côtés des neuf écrites par Martin Gore, jusqu'ici le compositeur omnipotent du groupe. Et les trois compositions de Gahan ­ exclusivement d'austères méditations sur les ténèbres spirituelles et la rédemption ­ comptent parmi les meilleurs moments du CD, l'autobiographique Suffer Well s'imposant même comme le titre le plus inspiré du lot. Gore, quant à lui, s'en tient à ce qu'il sait faire le mieux ­ des paroles traitant de sexe, de péché, de foi et de souffrance posées sur des trames electro-pop accrocheuses ­ pour un album qui enchantera simultanément le public mainstream du groupe et les amateurs de techno comme de metal gothique.
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Messagepar tom » 21 Oct 2005, 13:27

et aussi la note maximale (5 sur 5).dans the sun aujourd'hui.
toutes les critiques sont vraiment unanimes...
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