McCARTNEY + MORISSETTE USE ALIASES TO FOOL PIRATES + THIEVES
SIR PAUL McCARTNEY, FAITH HILL, ALANIS MORISSETTE and DEPECHE MODE are among the huge acts using aliases in a bid to make sure their new albums get to critics at newspapers and magazines.
Music industry bigwigs fear the bigger stars' preview albums are being swiped by interns and pirated weeks before their release dates.
So, McCartney's upcoming album has been credited to PETE MITCHELL, while Hill, Morissette and Depeche Mode are sending out their albums as FERN HOLLOWAY, ARTHUR MOORE and BLACK SWARM respectively, according to the Los Angeles Times.
Publicist MITCH SCHNEIDER, who represents both Morissette and Depeche Mode, says, "It is really a practical thing for protection when there are people walking by desks wanting to take things."
But the publicists admit their alias plan is far from flawless - some critics, who are inundated with albums to review, give unknown artists' albums away or discard them.
Geffen Records publicist JIM MERLIS explains, "You can actually out-clever yourself in these situations."
TRADUCTION :
SIR PAUL McCARTNEY, FAITH HILL, ALANIS MORISSETTE et DEPECHE MODE sont quelques uns des artistes majeurs qui utilisent des pseudos dans l'espoir que leur nouvel album arrive sans problème aux critiques des quotidiens et magazines.
Les huiles de l'industrie musicale craignent que les albums soient en effet interceptés par des internes et piratés des semaines avant leur date de sortie.
Ainsi, l'album à venir de McCartney a été crédité de à PETE MITCHELL alors que Hill, Morissette et Depeche Mode envoient leurs album respectivement sous les pseudos de ERN HOLLOWAY, ARTHUR MOORE et BLACK SWARM selon le Los Angeles Times.
L'agent MITCH SCHNEIDER qui représente Morissette et Depeche Mode a déclaré que "ce type de protection est bien pratique lorsqu'il y a des employés de bureau qui veulent subtiliser quelque chose."
Mais l'agent ajoute que cette stratégie du pseudo est loin d'être idéale, certains critiques, inondés par le nombre d'albums à chroniquer ne pretant pas attention aux albums d'artistes inconnus.
Jim Merlis de Geffen Records essaye de conclure : "En fait on ne peut pas toujours être les plus malins dans ce type de situations".
Edited By jb on 1125333326