Nouveau single de morrissey

Parce qu'il n'y pas que DM dans la vie : le punk, le post punk, les années 80 l'électro, le rock, la pop, Joy Division, Ian Curtis, David Bowie et tant d'autres...

Messagepar believer » 16 Sep 2004, 19:54

je vais enfin voir sur scène "the voice of the Smiths!" :fletch:
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Messagepar olive » 16 Sep 2004, 21:48

Pffffff !!!!!!!!!
Bin chapeau pour l'analyse du contexte et merci beaucoup de ces explications jb !
J'y vois beaucoup plus clair ! ;)




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Messagepar olive » 17 Sep 2004, 23:50

STUMM101 a écrit:Aucune info pour les B-sides pour l'instant, mais le choix du 4ème single suscite beaucoup d'étonnement de la part des fans (n'y a t-il pas d'autres singles valable dans YATQ ???)

Ha bin mince ! Perso, j'estime que "I Have Forgiven Jesus" est un titre plus que valable pour un single. Mais bon, c'est juste un avis. :kewl:
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Messagepar STUMM101 » 22 Sep 2004, 13:12

Salut,

Bon des news concernant le 3ème single "Let Me Kiss You" prévu pour le 11 octobre (le 12 pour la France) :

CD5#1 (Attack/Sanctuary ATKXS008) et 7'' (Attack/Sanctuary ATKSI008) :
- Let me kiss you
- Don't make fun of daddy's voice

CD5#2 (Attack/Sanctuary ATKXD008) :
- Let me kiss you
- Friday Mourning
- I am two people

Info en plus :
- First of the gang to die
- My life is a succession of people saying goodbye
- Teenage dad on his estate
- Mexico
Europe (non UK) CD5 (Attack/Sanctuary ATKXD004)
USA 7'' (Attack/Sanctuary 86007-7)
USA CD5 (Attack/Sanctuary 86007-2)

A+
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Messagepar 119-1049361005 » 25 Sep 2004, 22:05

Ils annoncent dans Rock & Folk une possible reformation des SMITHS !
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Messagepar jb » 26 Sep 2004, 00:14

Manoeuvre ne sait plus quoi inventer pour vendre son magazine. Bientôt ils annonceront le retour de Wilder dans DM ou celui de Ian Curtis au sein de Joy Division.
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Messagepar STUMM101 » 26 Sep 2004, 12:07

Salut,

Je suis tout à fait d'accord avec jb, mais je serais moins nuancé, Manoeuvre est un vieux C*N de revival rocker qui sait et connait tout.

Une dernière fois : les SMITHS ne se reformeront pas, en tout cas dans le quatuor original, Moz à fait plusieurs appel du pied à Marr à l'époque, mais il semble que Moz soit arriver à s'émanciper.
Reste Mike Joyce (Batteur) qui à gagner un procès contre Moz pour non versement des Royalties (je crois l'avoir déjà indiqué dans un ancien topic) et je vois mal les deux se rabibocher après ça. Quand à Andy Rourke (bassiste) celui rode autour des salles de concerts ou Moz joue pour signer des autographes et vendre ces CD à la sauvette, et Moz n'étant pas connu pour ses penchants altruistes excepté pour ses amis ça parait mal barré.

Manoeuvre c'est quand même lui qui à chroniquer lors de la TS de Gahan : "La vie d'artiste c'est dur...".
Donc que ses chouchous se shootent, se suicide, tue même pour certains c'est la Légende du Rock, mais pour les autre non ?!? Je retire ce que j'ai dit au début : c'est un GROS VIEUX C.N :rock: :rock:

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Messagepar 119-1049361005 » 26 Sep 2004, 22:39

LOL ! Ceci dit, les procès et autres embrouilles n'ont jamais empéché les reformations (Tears For Fears, Human League, Blondie, A-Ha) ou retour de musiciens au bercail (Duran Duran et les Taylor, Simple Minds & Mel Gaynor)

Pour R&F.... j'ai lu le dernier, c'est de pire en pire... ils nous refont le coup Blur vs Oasis 8 ans après ! quelle misère
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Messagepar jb » 27 Sep 2004, 09:31

waitingforwords a écrit:LOL ! Ceci dit, les procès et autres embrouilles n'ont jamais empéché les reformations (Tears For Fears, Human League, Blondie, A-Ha) ou retour de musiciens au bercail (Duran Duran et les Taylor, Simple Minds & Mel Gaynor)

Franchement, c'est totalement impossible à moins qu'un promoteur illuminé ne couche des millions de $ sur la table (en liquide) pour un concert unique ou un autre événement idiot. Morrissey a plusieurs fois souhaité la mort de Joyce donc je ne les vois pas s'offrir des glaïeuls du jour au lendemain. De plus, que va gagner Moz en reformant les Smiths ? La magie ne sera forcément plus au rendez-vous et il va diviser ses royalties alors qu'il a du succès et du fric tout seul dans son coin. Son dernier album a été mieux classé dans les charts que n'importe quel disque des Smiths.

Les rumeurs de reformation reviennent généralement dans les tabloids anglais en manque du scoop. Ce sont généralement des rumeurs ridicules comme l'autre jour où Morrissey aurait été vu en train de faire son jogging autour de la maison de Marr !

Pour R&F.... j'ai lu le dernier, c'est de pire en pire... ils nous refont le coup Blur vs Oasis 8 ans après ! quelle misère


Manoeuvre et Eudeline sont fatigués, vieux et en manque d'inspiration. Leur passéisme est par ailleurs insupportable. Visiblement ça se vend mal :

Tirage communiqué par le support .. 69208 ex.
Année ......................................... 2004
Diffusions (O.J.D) totale payée ...... 43781 ex.
France payée ............................... 41862 ex.
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Messagepar jb » 15 Nov 2004, 13:23

Il semblerait que deux premières parties soit au RDV pour ce concert du zénith : Suggs et James Maker.
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Messagepar kvod » 19 Nov 2004, 11:02

Le 4ème single du grand Moz sort apparemment le 13/12/2004. Voici le programme:

cd single:
Catalogue Number: ATKXD011
1. I Have Forgiven Jesus
2. Slum Mums
3. The Public Image

cd single:
Catalogue Number: ATKXS011
1. I Have Forgiven Jesus
2. No One Can Hold A Candle To You

7" single:
Catalogue Number: ATKSE011
Side A
1. I Have Forgiven Jesus
Side B
2. No One Can Hold A Candle To You

Source Morrissey-solo.com

kvod "Can't wait till Monday"
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Messagepar believer » 24 Nov 2004, 00:06

Soirée magique pour ma part, que ce concert du Momo; mon tout premier...
Un Morrissey on ne peut plus classe ,débutant notamment le concert habillé en prêtre! (ses boys vêtus eux tout le long du concert en kilt)
Le (re) découvrant surtout depuis quelque temps, j'ai avant tout été enthousiasmé par les reprises des Smiths (totalement soufflé par how soon is now en ouverture! ) et les perles classiques que sont every day is like sunday ou november spawned a monster.
Ambiance assez réjouissante dans la salle, avec les nombreux fans étrangers présents.
J'ai quand même trouvé le show en poil court(un seul morceau en rappel).




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Messagepar kvod » 24 Nov 2004, 12:14

J'ai également passé une excellente soirée.

Morrissey a fait le show, comme d'hab. J'ai tout de même eu l'impression que sa voix était écrasée et subissait la malédiction du son pourri du Zénith. On m'a dit que, des gradins, c'était potable donc j'impute ce problème à mon positionnement.

Les quelques faces B incluses dans le set étaient franchement bienvenues. Effectivement, le concert était un peu court (environ 1h20). Mais ça ne pouvait être que trop court.

Le Zénith était dans sa configuration Gahan (un rideau couvrant la moitié des places assises).

La fosse était bien physique.
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Messagepar believer » 24 Nov 2004, 12:47

kvod a écrit:Effectivement, le concert était un peu court (environ 1h20).

oui je n'ai pas surveillé ma montre,mais il m'a bien semblé qu'ils avaient dû jouer moins de 90 min.
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Messagepar STUMM101 » 24 Nov 2004, 14:30

Salut,

Excellente soirée que celle passée lundi soir au Zénith.
La salle était en petite configuration mais elle fut remplie. Bon je passe la première partie, à par un ou deux titre, le reste parait bien mou (j’ai même pas retenu le nom du groupe).
Enfin la salle s’éteint de nouveau, public en folie, démarrage de la backing tape re-silence et entrée du groupe tout les cinq habillés en t-shirt blanc (avec un motif qui m’a échappé), kilt et chaussures noires accompagnant Morrissey habillé lui en curé, pantalon et veste noire, chemise noire avec le col blanc, ainsi qu’une chaine au bout duquel pend une croix. Le messie est arrivé les fidéles sont là.
Le gig commence avec How Soon Is Now, que demander d’autre ? Les titres s’enchainent sans problème et on s’aperçoit que Moz à fait le ménage dans sa set-list : seul deux titres du Moz qui ne soit pas du dernier album, ouaw grosse surprise, il a décidé de se concentrer sur You Are The Quarry, comme pour dire à ces fans je vous ai manqué, vous aussi vous m’avez manqué.
Morrissey n’a rien perdu de sa verve humoristique avec un vibrant hommage à Sacha Distel (dire qu’il aurait pu être sur scène lundi soir…), un petit rappel que les américains ne sont pas tous stupides [heureusement] (« le monde déteste Bush, mais rassurez-vous les américains aussi… ») et le sempiternelle clin d’oeil à Julia (qui prononcera quelques mots).
Bref un concert unique et des versions live nickel (une mention particulière pour I Have Forgiven Jesus que je ne trouvais pas terrible pour un 4ème single mais qui m’a envouté par sa version live). On a eu le droit à un petit strip sur Let Me Kiss You ainsi qu’à trois changements de chemise (noire, blanc/rose, bleue et rouge)
Et voici There Is A Light That Never Goes Out qui conclut le concert où Morrissey comme à son habitude quitte la scène avant la fin du morceau en laissant le soin à ses musiciens de clore le procession.
Le concert à duré a peu près 1h25. Le seul souci fut le son qui parfois saturé sur la basse et la batterie.

La set-list :
How soon is now (The Smiths)
First of the gang to die (YATQ)
November spawned a monster (Morrissey)
I like you (YATQ)
Bigmouth strikes again (The Smiths)
Let me kiss you (YATQ)
Rubber ring (The Smiths)
Redondo Beach (Patti Smith)
Munich air disaster 1958 (B-side d’IBEH)
I have forgiven Jesus (YATQ)
Irish blood English heart (YATQ)
Everyday is like sunday (Morrissey)
The world is full of crashing bores (YATQ)
How could anybody possibly know how I feel (YATQ)
The never played symphonie (B-side d’IBEH)
Last night I dreamt that somebody loved me (The Smiths)
You know I couldn't last (YATQ)
There is a light that never goes out (The Smiths)


A noter la sortie d’une édition deluxe de You Are The Quarry (2CD : album + B-sides des 3 premiers singles, ainsi que First…, I Have Forgiven… et Let Me Kiss You tiré de "The Late Late Show with Graig Kilborn » et d’autres petites choses.

A+
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Messagepar jb » 24 Nov 2004, 15:13

Le groupe en 1ère partie était James Maker, j'ai été troublé par l'absence de batterie alors que chez DM ça ne me fait rien... C'est grave docteur ? Sur le t-shirt blanc des membres du groupes, il y avait écrit "Jobriath" qui est un des groupes signé par Moz sur le label Attack si je ne m'abuse.
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Messagepar jb » 25 Nov 2004, 00:39

Morrissey au Zénith : Beethoven is still deaf

Morrissey a soigné son retour au Zénith le 22 novembre au soir, en alignant avec justesse les titres de son dernier album, You are the Quarry, et quelques belles reprises des Smiths. Compte-rendu.

En 2004, Morrissey aura fêté à sa manière le vingtième anniversaire de la sortie du premier album des Smiths : après des années sombres où il se contentait de soliloquer et de chercher une maison de disque compréhensive, le revoilà revenu en pleine lumière grâce à un album solo abouti (You are the Quarry). Le grand Moz redevient soudainement un interlocuteur crédible pour la presse, une référence respectée par les jeunes groupes et un artiste qui se vend bien, avec un disque qui s’écoule à plus d’un million d’exemplaires. S’ensuit donc une tournée mondiale qui, jusqu’à présent, avait étrangement évité la France, puisque Morrissey avait finalement décliné sa venue au festival Rock en Seine au mois d’août dernier. L’ex-chanteur des Smiths a réparé cette injustice en investissant lundi 22 novembre le Zénith, où il avait enregistré avec brio son live Beethoven was deaf en 1992.

En douze ans, Morrissey n’a rien perdu de son charisme sur scène, mais son répertoire a radicalement changé, puisque qu’il ne chante désormais pratiquement que des titres issus de son dernier album ou, divine surprise, des chansons des Smiths. Ainsi, un peu à l’image de New Order qui a fini par accepter l’idée de jouer des titres de Joy Divison, Morrissey ne semble plus réticent à interpréter des morceaux de son ancien groupe, ce qui est paradoxalement la preuve que sa carrière solo a atteint une certaine plénitude.

La soirée a débuté par une prestation un peu brouillonne du dénommé James Maker, dans la grande tradition des groupes obscurs que Morrissey place en première partie comme autant de faire-valoir. À 21 heures 15 les lumières s’éteignent et le public se réveille. Une musique grandiloquente se fait entendre, avant que ne s’illumine derrière la scène le nom de Morrissey en lettres majuscules. Le Mancunien fait alors son entrée en scène, dans un costume sobre et élégant tandis que le reste du groupe n’a pas forcément fière allure en kilt et T-shirt blanc…On se demande parfois si Morrissey vit bien dans le même monde que ses acolytes.

Les premières notes glacent d’émotion une partie de l’assemblée, qui reconnaît le rythme hypnotique d’How soon is now ?. La voix de Morrissey ne faillit pas et on frissonne de l’entendre nous chanter les paroles bouleversantes de ce titre majeur des Smiths. Avant que l’audience n’ait eu le temps de recouvrer ses esprits, le groupe enchaîne avec une version sémillante du récent single First of the gang to die, puis avec November spawned a monster (qui illustre assez bien ce que pense Morrissey des récentes élections américaines).

En une heure et demie de concert, la voix du Moz ne sera jamais prise en défaut, s’imposant avec grâce, même lorsque son groupe n’arrive pas vraiment à suivre la cadence imposée par son leader. Qu’importe, car la soirée sera illuminée par les cinq reprises réussies des Smiths, dont l’incendiaire Bigmouth strikes again, l’intimiste Last night I dreamt that somebody loved me et Rubber Ring, dont les paroles constituent pour les fans un véritable bréviaire : « don’t forget the songs that made you cry and the songs that saved your life ».

Les titres du répertoire solo de Morrissey suscitent forcément moins de ferveur, même si des morceaux comme Irish blood, English heart et surtout How can anybody possibly know how I feel ? se révèlent diablement efficaces en concert. Sur scène, le Moz cabotine, interroge le public, évoque avec gravité Sacha Distel, avant de s’agenouiller lascivement pendant le refrain de Everyday is like Sunday. Le rappel sera unique et attendu : There is a light that never goes out. Le groupe va continuer à jouer le thème de cette chanson sublime longtemps après que le chanteur se soit éclipsé. Espérons que Morrissey n’attende pas douze ans avant de revenir sur la scène du Zénith.


Pierre-Etienne Minonzio
23 nov. 2004

http://www.lesinrocks.com/framese....portage
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Messagepar STUMM101 » 25 Nov 2004, 13:44

Salut,

Concernant le live «Beethoven Was Deaf» du 22 décembre 1992 au Zénith de Paris, tous les titres ne sont pas tiré de Paris, mais également du Londres du 20 décembre 1992 à l’Astoria Theatre. De plus l’ordre des chansons n’a pas été respecté.

Voici les set-list :

BEETHOVEN WAS DEAF
- You’re the one for me fatty *
- Certain people I know *
- The national front disco *
- November spawned a monster (intro Ouija board ouija board)
- Seasick, yet still docked
- The loop
- Sister, I’m poet
- Jack the ripper
- Such a little thing makes such a big difference
- I know it’s gonna happen someday
- We’ll let you know *
- Suedehead
- He knows I’d love to see him *
- You’re gonna need someone on your side *
- Glamorous glue *
- We hate it when our friends become successful
* titres enregistrés à Londres le 20 décembre 1992


LONDRES, ASTORIA THEATRE 20 décembre 1992
- You’re the one for me fatty
- Certain people I know
- Glamorous glue
- Tomorrow
- November spawned a monster (intro Ouija board ouija board)
- The national front disco
- Seasick, yet still docked
- Jack the ripper
- Alsatian cousin
- Sister, I’m poet
- The loop
- Such a little thing makes such a big difference
- I know it’s gonna happen someday
- You’re gonna need someone on your side
- We’ll let you know
- He knows I’d love to see him
- We hate it when our friends become successful
- The last of the famous international playboys


PARIS, LE ZENITH 22 décembre 1992
- We hate it when our friends become successful
- You’re the one for me fatty
- Certain people I know
- Glamorous glue
- Tomorrow
- November spawned a monster (intro Ouija board ouija board)
- The national front disco
- Seasick, yet still docked
- Jack the ripper
- Alsatian cousin
- Sister, I’m poet
- The loop
- Such a little thing makes such a big difference
- I know it’s gonna happen someday
- We’ll let you know
- Suedehead
- You’re gonna need someone on your side
- The last of the famous international playboys

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Messagepar jb » 25 Nov 2004, 16:07

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-388288,0.html

La leçon de concert de Morrissey
LE MONDE | 24.11.04 | 15h15

Au Zénith, à Paris, lundi 22 novembre, avec élégance et maturité, Morrissey, l'ancien leader de The Smith, a soigné son retour sur scène, plus encore que sur disque. Oubliées les faiblesses de You Are the Quarry, album sympathique mais sans véritable surprise, pardonnées les annulations de dernière minute cet été à Benicassim (Espagne) ou Rock en Seine (Boulogne), qui pouvaient laisser craindre un retour en force de ses caprices de diva.

Le spectacle ressemble à une leçon de concert pop et rock. Ses musiciens sont en kilt, lui en costume trois pièces noir, petit crucifix sur la poitrine, clone de Johnny Cash. Morrissey, écrit en lettres géantes à ampoules, brille de tous ses feux. How Soon is Now pour commencer avec du sens (I Am Human and I Need to Be Loved) et exorciser les Smith, ce passé que le public vénère et qui le porte encore. La délicatesse de l'interprétation enchante déjà. Big Mouth Strikes Again est jeté en pâture quelques minutes plus tard.

Puis, la veste tombe et l'on retrouve l'homme à la chemise négligemment sortie du pantalon, l'interprète fiévreux de textes à l'intimité exacerbée. Morrissey se tord, se touche, embrasse le sol, joue du fil de son micro comme d'un lasso ou d'un fouet. Son maniérisme, irritant parfois, se révèle terriblement touchant. Entre chaque chanson, il s'adresse aux spectateurs, plaisante avec ses fans, leur tend le micro, s'amuse de leur idolâtrie, mais l'accepte avec un plaisir évident. Les frustrations et les aigreurs de la jeunesse ont cédé la place à une désillusion teintée de sérénité.

La voix s'impose, claire, juste, sûre, brillamment soutenue par cinq musiciens soudés et enthousiastes ("Nous nous appelons Morrissey", déclare à raison le chanteur à son entrée en scène). L'espace se réduit peu à peu, et le Zénith, si glacial d'ordinaire, prend des allures de salle de bal, sortie tout droit du nord de l'Angleterre, ou d'une Amérique surannée.

Moments réussis du dernier album, How Can Anybody Possibly Know How I Feel et I Like You se révèlent en concert d'une intensité captivante. Un seul rappel, There Is a Light That Never Goes Out, des Smith à nouveau (Take Me Out Tonight, Take Me Anywhere I Don't Care, Cause Their Home Is Not My Home) et Morrissey s'en retourne à son errance et à sa solitude profonde, icône rock au charisme intact et au talent scénique indéniable.

Odile de Plas

• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 25.11.04
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Messagepar STUMM101 » 25 Nov 2004, 17:36

Salut,

Oh my god, les journalistes français adorent Morrissey :o :o.
C'est les rocks critiques british qui font faire la gueule :bigggrin: :bigggrin: .

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