par cyrilsand » 03 Sep 2005, 12:58
01 A PAIN THAT I’M USED TO:
Débute avec une ligne de synthés fortement tordu qui rappel immédiatement THE DEAD OF NIGHT. Et là fin des similitudes. Le chorus se déplace tout à fait à un rythme gentil, avec juste assez de BPM pour le rendre dansable, coutil et palpitation le long . . . . . . . . . , presque modestement, comme la voix de Dave. Débuts du (des) chorus, et HILLIER tourne les onze boutons. Les synthés tordu du commencement de la chanson apporte avec une bassline de gronder qui ne prends pas la peine de frapper : il donne un coup de pied dans la porte. Vocal fort et le crochet de la mélodie entraînante applique le contact du finissage, et il est évident . . . . . que cette chanson sera un Single à un certain point.
02 JOHN THE REVELATOR :
Commence presque comme la mélodie Glockenspiel. Les vocales de Dave sont courut par un effet évident, et le tout à une lointaine sensation comme Personnal Jesus. Les guitares fortement traitées se lève souvent vers le haut jusqu'à voler la vedette, plaçant l’auditeur prêt pour une expérience semblable sur pratiquement chaque chanson. Le long cris du chorus n’est pas assez entraînant pour justifier un Single, et l’instrumental antre le pièces vocales est plus apparenté a des sons rythmique qu’a une mélodie.
03 SUFFER WELL :
A été écrite par Dave GAHAN. C’est tout à fait up tempo, commençant par des effets de Synthé, puis rupture en . . . . . guitares distordues. HILLIER rempli la voix de garnitures énormes, craquements et bruits aléatoire. Le chorus m’a laissé . . . . , bien qu’il y ai une chance que celle-ci se développera sur avec des écoute répétées.
04 THE SINNER IN ME :
Présente encore plus de synthés distordus, presque suivi de tambours comme dans WALKING IN MY SHOES ; slow, foncé( obscur ) et lourd. Reste bien en dessous des 100bpm, ceci se sent comme une ballade portée légèrement vers le haut. Il y a un contraste étonnant entre les différentes parties de la chanson : tandis que certains nagent profondément, d’autre ont un contact plus léger. Le Chorus de la chanson prend d’abord une conclusion, comme PRECIOUS. PTA contient très peu de chanson qui s’ouvrent à la première écoute, et TSIM . . . . .certainement justifié quelque répétition. . . . . . . . . . . .
05 PRECIOUS :
Après . . . . , ce que, comme moi, vous avez entendu mille foi. La version de l’album (sons) identique à la version de la vidéo « qui à fuie », avec des guitares sur le dessus, et la voix de Dave GAHAN étant légèrement enterrée par le chorus. Naturellement, les sons (helluved) de la chanson sortent mieux venant d’un CD correctement maîtrisé.
06 MACROVISION :
C’est la 6ème chanson et la première pour Martin GORE. Elle commence sans tambours ou percussions, . . Que cela va être une ballade. La bassline croulant obtient un certain support de tambours amortis pour le chorus, suivit d’un pont rempli de cru, percussions distordues. La production de la chanson m’a rappelé les démos de Martin pour COUNTERFEIT2. Excellent chorus, d’ailleurs.
07 I WANT IT ALL :
La 2ème chanson écrite par Dave GAHAN est probablement le point bas de l’album. En dessous de 100bpm, elle est remplie de trucs audio, tambours et percussions distordues, et abondance de guitares fortement traitées, ce qui est habituellement mélangé sur tout autrement. Il y a également un très bref, bruit de synthés presque Kraftwerkian avec une mélodie approprié . . . . . . . IWIA est une chanson très dure. . . . , comme il serpente de part en part sans beaucoup de structure évidente. Le nom de la chanson est jeté dans. . . . , comme une pensée après coup.
08 NOTHING’S IMPOSSIBLE :
Est la 3ème et dernière chanson écrite par Dave GAHAN, elle est incroyablement foncée. C’est également un monstre de basse extrêmes, grognement puissant situé quelque part entre 100-110bpm. Il un quantité énorme de bruits et de synthés au dessous de la voix de Dave, un groupe de bruits très impairs de synthés, et une mélodie volcanique de guitares sur le dessus . . . .Les voix de Dave sont presque accablés par un mur de bruits pendant le chorus. Au final, le meilleur des efforts de Dave, et une chanson pas du tout défectueuse
09 INTROSPECTRE :
Est encore un autre de ces interludes interminable et totalement inutile, qui trouve d’une façon ou d’une sa place sur l’album de DEPECHE MODE.
10 DAMAGED PEOPLE :
Chanson n°10, est chantée par Martin. Sur mon notebook il y a une pleine page de scibb au sujet de celui-ci, sa majeure partie est totalement illisible. C’est une chanson d’enfer et la seule sur l’album qui m’a fait lever les poils sur mes bras et des frissons . . . . . . Les guitares et les synthés se gonflent vers le haut pour soutenir la voix de Martin…. whoa .Puis il y a les paroles :
-When you’re in my arms
The world makes sense
There’s no pretense
And you’re crying
-When your lips touch mine
And I lose control
I forget I am old
-And dying
-Make of that what you will, devotes.
11 LILLIAN:
La pénultième chanson, est une des chanson la plus rapide de l’album et . . . . . . . . Les vocal de Dave sont courus par un effet comme radio FM, il y a un abondance de guitares traitées maintenant familière planant sur le dessus, aussi bien que la myriade entière de palpitations, palpitante, vrombissement et vrillage des sons de synthés.
12 THE DARKEST STAR :
Chantée par Dave avec en support les vocales de Martin. Elle pointe à 6 :50, avec à la fois des pièces silencieuses et fortes, synthé filtrés, arrangements isolés de piano, bassline tranquille et palpitante et quelques bruits menaçants plutôt jetés dedans pour la bonne mesure. Je décris qu’ils n’ont pas eu un évier de cuisine aisément disponible. Une autre chanson qui refuse absolument de s’ouvrir immédiatement. Le chorus est simplement étonnant, avec une sorte de vocal que vous pourriez prévoir . . . . . . . d’un hybride humain et une bête mythologique des puits de l’enfer. Il vous incite à vouloir repentir vos pêchés et vous arquez vers le bas des hauts parleurs. Quelle manière de finir l’album.
Vous pensiez avoir toutes les pensées finales ? Bien, oui, un certain nombre mais elle sont toute beaucoup trop pêle-mêle pour sembler raisonnable en ce moment . C’est album très difficile à . . . . . , je puis vous dire ceci….. . Finalement comptez passer beaucoup de temps avec lui pour certaines chansons. J’hésite à comparer PTA à n’importe lequel des précédent, simplement parce qu’il est si différent, mais c’est tellement DEPECHE MODE que vous pourriez jeter une larme ou deux.
Petri Teittinen .
Dans un mois c'est PRECIOUS!
Et dans un mois et 14 jours c'est PLAYING THE ANGEL!! Que l'attente va être longue pour pouvoir l'écouter et se faire enfin une idée du contenu et dire ce que l'on en pense (critiques). :confused: :zique:
freelover