Le catalogue d'universal gratuitement en ligne

Parce qu'il n'y pas que DM dans la vie : le punk, le post punk, les années 80 l'électro, le rock, la pop, Joy Division, Ian Curtis, David Bowie et tant d'autres...

Messagepar jb » 29 Aoû 2006, 23:46

Le catalogue d'Universal Music bientôt gratuitement en ligne

La maison de disques proposera en décembre son catalogue en ligne gratuit aux Etats-Unis et au Canada et se rémunèrera par la publicité, selon des informations du «Financial Times». Beaucoup de questions restent pour l'instant sans réponse.

Une audiothèque à portée de clic, légalement et pour pas un rond. Le rêve de tout consommateur-téléchargeur de musique sur l’Internet va se concrétiser. A condition de ne pas être allergique à la publicité. La maison de disques Universal Music devrait, d’ici décembre, mettre gratuitement son catalogue en ligne aux Etats-Unis et au Canada, via la société américaine SpiralFrog. L’accord, inédit (1), signé entre le numéro un mondial de l’industrie du disque et start-up new-yorkaise a été révélé mardi par le quotidien britannique Financial Times. Confirmé par SpiralFrog, il repose sur le financement du téléchargement des morceaux par la publicité. Recettes publicitaires ensuite réparties entre SpiralFrog et Universal Music. Des pourparlers entre SpiralFrog et EMI, Warner et Sony-BMG sont en cours. Pour la France, on verra plus tard: le siège français d’Universal n’a pas pas souhaité s’exprimer à ce sujet.

Parce que le mélomane est, c’est bien connu, hyper looké, plusieurs marques de vêtement seraient déjà prêtes à prendre des espaces. Le Financial Times annonce que Benetton, Levi’s, Aeropostale et Perry Ellis, se sont déjà manifestés pour placer leur publicité sur SpiralFrog. Oscar Feldenkreis, président de Perry Ellis International, s’en explique: ses «clients s’intéressent à la musique, et sont plus facilement accessibles sur le web».

Le but de ce service gratuit est de lutter contre le piratage de la musique. La Fédération internationale des industries phonographiques a révélé en juillet que, pour un téléchargement légal, on en compte 40 illicites, via les sites de «peer to peer». Mais le directeur de SpiralFrog, Robin Kent, affirme que les fichiers téléchargeables gratuitement sur son site étant «légaux», ils «ne comporteront aucun virus ni programme espion», contrairement à ceux des sites pirates, souvent vérolés.

SpiralFrog se veut une alternative à iTunes, leader du téléchargement légal et payant de musique en ligne. Pour Mark Mulligan, analyste chez Jupiter Research, «il est trop tôt» pour savoir s’il s’agit d’une menace pour iTunes. Le problème à plus long terme, selon lui, est la mise au point de standards pour les fichiers musicaux qui permettront au consommateur de les écouter sur le baladeur numérique de son choix.

Il reste un tas de questions sans réponses pour l’instant: la publicité sera-t-elle limitée à l’écran ou sera-t-elle étendue à l’écoute, comme sur une radio? Quels seront les niveaux de rémunération des auteurs? Des précisions attendues d’ici décembre, date prévue du lancement du téléchargement gratuit sur SpiralFrog.

http://www.liberation.fr/vous/internet/201100.FR.php




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But of course darling it's normal
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Messagepar jmsmirnoffice » 30 Aoû 2006, 00:23

Universal Music et AOL veulent concurrencer l'iTunes d'Apple


Tour à tour, la compagnie de disques et le portail Internet viennent d'annoncer des initiatives pour concurrencer iTunes, le service de téléchargement de musique payant d'Apple. La guerre est déclarée.

Le succès insolent du service d'achat de musique d'Apple "iTunes" suscite la convoitise. Universal Music et AOL passent à l'offensive pour concurrencer cette référence qui domine actuellement le marché du téléchargement de musique sur Internet.

Ainsi, la maison de disques Universal Music se lance dans la musique gratuite sur Internet aux Etats-Unis et au Canada. Le numéro un mondial de l'industrie du disque vient d'annoncer une alliance avec la société américaine SpiralFrog, un nouveau service de musique en ligne. Universal Music va mettre à sa disposition son catalogue de disques. Les internautes pourront télécharger gratuitement et légalement ses titres. SpiralFrog et Universal Music seront rémunérés grâce à la publicité sur le site.
Publicité




"Les clients seraient prêts à accepter de regarder des publicités, si elles sont ciblées, en échange de la gratuité pour télécharger de la musique", affirme Robin Kent, le directeur général de SpiralFrog. Ce nouveau service sera lancé en décembre prochain. Il va ainsi être en concurrence sur le marché américain et canadien avec le modèle payant d'iTunes d'Apple, qui facture 99 cents par chanson téléchargée. La volonté des deux protagonistes (Universal Music et SpiralFrog) est également de lutter contre les sites pirates de musique en ligne "peer to peer", qui permettent de télécharger illégalement des fichiers musicaux et vidéo.

Autre initiative, lancée cette fois par AOL qui reste, lui, sur un modèle payant: "AOL Music Now" qui permettra de télécharger des chansons et des clips vidéo à l'unité au même prix que sur iTunes. Pour ceux qui ont une grosse consommation, un abonnement sera proposé à 9,95 dollars (7,80 euros) pour télécharger en illimité des chansons et des clips sur un ordinateur, et 14,95 dollars si le téléchargement se fait directement sur un baladeur numérique. AOL a passé des accords avec différents éditeurs musicaux et dispose d'un catalogue de 2,5 millions de chansons. Sur ce service "AOL Music Now", on pourra en outre accéder à un service de radio par satellite.

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Messagepar OD » 30 Aoû 2006, 10:16

Musique illimitée

AOL et Universal attaquent iTunes de front sur le téléchargement. AOL casse les prix et Universal va passer au tout gratuit.(30/08/2006)

C'est AOL qui a lancé les hostilités hier, en annoncant le lancement de "AOL Music Now", un service qui permettra de télécharger chansons et clips vidéo musicaux grâce à un abonnement, et non pas à l'unité, comme c'est le cas actuellement pour son concurrent iTunes. Le nouveau service va permettre d'avoir accès à un catalogue de 2,5 millions de chansons. Le prix de l'abonnement sera de 9,95 dollars pour télécharger un nombre illimité de chansons et de vidéos.

Révolution gratuite

Mais c'est d'Universal Music que provient le séisme : le numéro un mondial de l'industrie du disque va proposer, dès la fin de l'année, le téléchargement gratuit aux Etats-Unis et au Canada de son catalogue sur Internet, une première rendue possible par la publicité. Universal Music s'est associé à la jeune société new-yorkaise SpiralFrog pour lancer un service fin 2006 en version expérimentale. Les modalités financières n'ont pas été divulguées, SpiralFrog se contentant d'indiquer que le projet reposait sur un partage des revenus publicitaires. Pour Universal comme pour SpiralFrog, le nouveau service est un moyen de lutter contre le téléchargement pirate de musique sur Internet.
Selon l'association représentant l'industrie du disque, l'Ifpi, le piratage sur internet représente environ 40% de la musique téléchargée.

( http://www.metrofrance.com )
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Messagepar jmsmirnoffice » 09 Oct 2006, 20:56

<span style='font-size:11pt;line-height:100%'>Accord entre YouTube
et Universal Music
</span>

NOUVELOBS.COM | 09.10.06 | 16:45

Après Warner Music Group, c'est au tour de Universal Music Group d'offrir, aux utilisateurs de YouTube, l'accès à ses archives.

(Sipa)


Universal Music Group annonce, le lundi 9 octobre, avoir conclu un accord de distribution avec la plateforme internet de diffusion de vidéos YouTube, mettant ainsi fin à un conflit sur les droits de ses artistes.
Universal Music, filiale de Vivendi, offrira aux utilisateurs de YouTube l'accès à plusieurs milliers de vidéos tirées de ses archives et leur permettra d'utiliser des chansons de son catalogue pour l'illustration de leurs vidéos.
L'accord est le deuxième de ce type signé par YouTube après celui conclu le mois dernier avec Warner Music Group.
(Avec Reuters)
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Messagepar jmsmirnoffice » 09 Oct 2006, 21:41

Les grandes manoeuvres continuent...

<span style='font-size:12pt;line-height:100%'>YouTube et Google signent de multiples accords vidéo</span>
REUTERS : Lundi 9 octobre 2006 - 15:33

NEW YORK (Reuters) - Google annonce la signature d'accords de distribution avec Sony BMG et Warner Music Group permettrant de proposer des vidéos musicales.

Sony BMG est une coentreprise entre Sony et Bertelsmann .

Un peu auparavant, YouTube annonçait un accord similaire avec Universal Music Group, contrôlé par Vivendi.

Universal Music offrira aux utilisateurs de YouTube l'accès à plusieurs milliers de vidéos tirées de ses archives et leur permettra d'utiliser des chansons de son catalogue pour l'illustration de leur vidéos.

L'accord est le deuxième de ce type signé par YouTube après celui conclu le mois dernier avec Warner Music Group.

YouTube a également annoncé ce même lundi un accord avec le groupe de télévision CBS.

CBS proposera dès octobre aux usagers de YouTube des programmes vidéo courts portant sur de l'information, du sport et des spectacles.

YouTube et CBS partageront les recettes des parrainages publicitaires de CBS Videos, précisent les deux groupes.

Selon le Wall Street Journal, Google négocie le rachat de YouTube pour près de 1,6 milliard de dollars.
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Messagepar jmsmirnoffice » 17 Oct 2006, 20:38

Avant de lacher leurs morceaux gratos, universal prend encore un peu d'oseille...

<span style='font-size:10pt;line-height:100%'>Universal veut valoriser en ligne son catalogue de vieux titres</span>
REUTERS : Mardi 17 octobre 2006 - 16:39

par Jeffrey Goldfarb

LONDRES (Reuters) - Un catalogue de vieilles chansons, dont certaines introuvables en magasin comme l'album de Noël de la chanteuse grecque Nana Mouskouri sorti en 2000, a été téléchargé 250.000 fois depuis février, annonce Universal Music.

Le titre le plus populaire parmi les 3.000 rendus disponibles en version numérique sur les services de musique en ligne, comme iTunes d'Apple, est le tube des Guns N'Roses "Word Up" et l'album le plus téléchargé est "Steeltown" de Big Country, sorti en 1984.

Les ventes des sept derniers mois, révélées mardi par Universal, sont un exemple parfait du fait que de faibles ventes peuvent, en somme, représenter un important marché, surtout à l'ère numérique où les coûts sont réduits.

"Nous sommes désormais capables de quantifier et de répondre à l'appétit pour l'éclectisme, pour de vieux enregistrements", a déclaré Olivier Robert-Murphy, vice-président du marketing d'Universal Music à l'international.

"Il est clair que cela vaut le coup de s'y intéresser", a-t-il ajouté.

La maison de disques n'a pas révélé les chiffres des ventes, mais a déclaré que la compilation de Nana Mouskouri "Les plus beaux noëls du monde" était le cinquième album le plus téléchargé et s'était vendu dans quasiment tous les pays où la campagne a été lancée, et ce sur une période qui ne couvre pas les fêtes de fin d'année.

Parmi les albums proposés dans 20 pays, principalement en Europe, certains remontent jusqu'aux années 60. La version de "Je t'aime... moi non plus" interprétée par Brigitte Bardot figure aussi dans le top 5.

Les ventes de musique dématérialisée vers des baladeurs numériques ou des téléphones portables représentent environ 11% des 21 milliards de dollars que pèse le marché de la musique. Ces ventes compensent lentement le net recul de ventes de CD.

Plus d'un milliard et demi de titres ont été vendus sur iTunes. Le service d'Apple représente approximativement les deux tiers du marché du téléchargement payant de musique en ligne.

Universal Music, division du groupe français Vivendi, envisage d'élargir ce catalogue avec 100.000 autres titres de son fond de catalogue, dont beaucoup sont sortis seulement en vinyle, dans les trois ou quatre prochaines années et de les vendre uniquement au format numérique dématérialisé.

Un deuxième lot du catalogue d'Universal sera disponible fin novembre et comprendra des chansons de Maurice Chevalier, Peter Kraus, The Orb et Charles Trenet.

D'autres maisons de disques vendent également en ligne de vieilles chansons mais Universal, leader sur le marché de la musique, est à l'origine du plus important effort pour valoriser son catalogue de vieilles chansons. Les anciens albums représentent entre 30 et 35% de ses ventes de CD.

La numérisation de la musique, et plus particulièrement celle d'albums datant de plusieurs dizaines d'années, pourrait être compliquée par des problèmes juridiques, les contrats de l'époque n'étant évidemment pas adaptés.

Emusic, deuxième service de musique en ligne derrière iTunes, vend souvent des vieux titres achetés à des labels indépendants. Il ne propose pas de musique dont les droits appartiennent aux quatre majors parce qu'elles ne proposent pas de titres au format MP3, compatible avec n'importe quel lecteur de musique portable.




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Messagepar jmsmirnoffice » 30 Oct 2006, 22:13

Universal Music, filiale de Vivendi, baisse le prix de téléchargement de ses vieux albums


Universal Music veut rendre attractif, ses vieux albums et remettre au goût du jour Buddy Holly, Bob Marley ou encore The Who. Le groupe va donc réduire le prix de téléchargement de ces albums à partir du 1er novembre prochain.

Universal Music, le numéro un mondial du disque avec une part de marché de 25,6% baisse le prix du téléchargement de ses anciens albums pour encourager les ventes sur Internet. 1.500 albums seront concernés par cette mesure qui entre en vigueur le 1er novembre prochain. Parmi ceux-ci on peut citer "The Chirping Crickets" de Buddy Holly ou encore "Rastaman Vibration" de Bob Marley et les Wailers.

Pour Universal Music, filiale du groupe Vivendi, cette opération a du sens, car elle permet de remettre sur le devant de la scène d'anciens albums que parfois les consommateurs ne trouvent plus en magasin. C'est donc un marché stratégique et potentiellement lucratif. Une nécessité à l'heure du téléchargement de musiques qui monte en puissance sur Internet. C'est également une mesure attractive pour faire face au piratage alors que la fédération internationale de l'édition phonographique a annoncé le 18 octobre dernier, le lancement de 8.000 nouvelles plaintes contre le téléchargement illégal dans le monde.

Dans le groupe Vivendi, outre Universal Music, l'opérateur de téléphonie mobile SFR a présenté la semaine dernière une initiative pour dynamiser le nombre de téléchargements sur son site SFR Music, qui est la 3éme plate-forme de vente de musique en France. Il a ainsi aligné ses prix sur les tarifs d'iTunes, la plate-forme de téléchargement d'Apple, le numéro un mondial. SFR a ainsi divisé par deux, le prix de téléchargement d'un morceau de musique. Le tarif à l'unité va ainsi passer le 7 novembre prochain de 1,99 euro à 99 centimes (hors prix de connexion au portail Vodafone Live). Avec cette initiative, SFR qui enregistre aujourd'hui 300.000 téléchargements par mois, veut atteindre 1 million de téléchargements à la fin 2007 et ainsi rattraper son retard: il espérait initialement atteindre cet objectif à la fin de cette année.

latribune.fr

[url=http://www.latribune.fr/info/Universal-Music--filiale-de-Vivendi--baisse-le-prix-de-telechargement-de-ses-vieux-albums-
~-IDC85F0DEC7441DA5CC1257217005E072F-$Db=Tribune/Articles.nsf]http://www.latribune.fr/info....les.nsf[/url]
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